Langue de travail et ressources humaines

J’ai eu à connaître de la question de la langue de travail en tant qu’ancien responsable d’une entreprise internationale puis en tant qu’universitaire. Je suis d’une génération où les cadres dirigeants parlaient souvent peu et mal anglais, et pensaient qu’une part des difficultés de leur entreprise venait de là, d’autant que leurs collaborateurs plus jeunes et plus anglophones faisaient tout pour les en persuader afin de mieux se valoriser.